Vidéo de @coscovilllal

Ouiet l’un des nôtres est parti. Arévalo. Le comédien qui a conquis Espagne avec une cassette lors des longs voyages de l’époque, au détriment de la recherche d’une nouvelle cassette dans une autre station-service. Arévalo. valencien issu de la « terra », ses fondements dans le spectacle sont venus de la tauromachie, son monde, avec le « torero Pompier ». Avec la main de son père et le bras de ces toreros nains, il a grandi dans sa puissante capacité à faire rire les gens. Vertu bénie.

Depuis ses débuts avec Pompier torero, Arévalo Il a toujours su trouver un rire hésitant dans l’adversité. Pas celui qui se moque de. Mais celui qui trouve dans la difficulté, le royaume de l’espoir. Une vie gagnée à la télévision avec une blague, tandis que l’Espagne – celle d’autrefois dirait-on – se moquait des gangsters, des poules mouillées… Sans jamais se moquer d’eux.

Diana pour beaucoup, Arévalo Il a toujours été interrogé par ceux qui célèbrent aujourd’hui sa mort dans les poubelles des réseaux sociaux. Sous le talent de l’humour, Arévalo Je souris toujours à Espagne, même si son sourire s’est effondré. Artefact pour ceux qui l’ont vilipendé pour avoir attaqué des groupes ou des maladies avec l’ampleur de la supériorité morale et de la liberté dictatoriale auxquelles nous sommes soumis sous le haut-parleur du progressisme sans connaître la vraie. Arévalo. Un homme sans limites qui fait rire toute l’Espagne malgré l’enterrement de deux de ses enfants – un d’un mois et un autre de 20 ans – et de sa femme. Il a servi de guide à sa fille Nurie -qui souffre du syndrome de Williams-, sa plus grande préoccupation lorsqu’il ne provoque plus les rires de son entourage.

En tant que personnes de corrida, Arévalo j’ai toujours appris le drapeau Corrida devant n’importe quelle tranchée. Il a sucé corrida et il s’en passionna, explorant la carte des taureau. Il n’abandonne jamais la défense de ce qu’a été sa vie. Cette pépinière de talents qui a germé dans le « torero pompier ». Cependant, Arévalo Elle ne correspondait pas à l’archétype actuel de la société aux paramètres sans essence, perdus et vagues. Un comportement politiquement correct qui est tout simplement absurde.

On dit que son humour n’avait pas sa place dans le monde d’aujourd’hui, mais peut-être que ce qui n’a pas sa place, c’est de fixer des limites à l’humour. Heureux ceux qui savent rire d’eux-mêmes, car ils ne cesseront jamais de s’amuser. Arévalo C’était un comédien. Ses gangos et ses poules mouillées sont en deuil car personne ne les respectait comme lui. Nous aussi. Il était l’un des nôtres, dans un pays appartenant aux autres.